Avant de rentrer dans le sujet qui nous préoccupe en ce début d’année, permettez-nous de vous souhaiter une bonne santé, et nos meilleurs vœux de bonheur pour cette nouvelle année 2022. Nous avions espéré que cette dernière commence sous de bonnes nouvelles, mais le coup porté aux salariés ne proviendra pas pour une fois de notre direction, mais de l’organisation syndicale majoritaire que vous avez élue, à savoir Solidaires. |
Qualité de vie et conditions de travail : un accord non signé.
N’allons pas par quatre chemins. Alors que les autres organisations syndicales (CFTC, CGT, CFE-CGC) ont signé l’accord sur la Qualité de Vie et les Conditions de Travail, les délégués syndicaux Solidaires chez Computacenter France ont décidé que ce dernier n’en valait pas la peine. Concrètement, cela impliquera pour les salariés :
A la CFTC, nous prenons nos responsabilités.
Alors que nous ne sommes pas le syndicat majoritaire et qu’il serait facile pour nous de laisser passer le temps et nous la couler douce, nous n’avons cessé de nous battre toujours dans le même objectif : Mettre l’HUMAIN au CŒUR de notre entreprise. A chaque négociation que nous avons menée, chaque accord que nous avons signé, nous nous sommes démenés pour que la vie et la santé de nos collègues ne soient pas abandonnées car cela fait partie de notre ADN.
Aussi, nous demandons officiellement à notre direction de prendre dès à présent une charte reprenant mots pour mots l’accord Q.V.C.T proposé, et de préciser dans le préambule ainsi que dans la communication qui en sera faite aux salariés, pourquoi l’accord n’a pas abouti, et quelles étaient les organisations syndicales signataires.
A défaut d’une réponse positive, nous demandons la mise en place d’un référendum d’entreprise afin que vous, chers collègues, puissiez répondre par un OUI massif et affirmer ainsi, que la Qualité de Vie et les Conditions de Travail comptent autant, sinon plus que les 1,10 % d’augmentation qu’ils revendiquent fièrement. (Mais ça nous y reviendrons plus tard). Nous leur laissons volontiers ce besoin de reconnaissance.
Enfin, nous souhaitons vivement que la CGT et la CFE-CGC, qui ont fait parti des signataires, en fasse de même car il faut 30 % de représentativité syndicale pour que ce référendum ait lieu. Malgré notre représentativité (un peu moins de 19 %),